Un éditorial

LA PRESSE

Les OGMS: notre relèvement ou damnation?

Pendant la semaine dernière, il y avait une tempête de la controverse autour du sujet des OGM. D’après une enquête IPSOS, 25% des produits alimentaires ont été génétiquement modifiés. Quelques personnes pensent que c’est catastrophe, un désastre humain ; mais les autres pensent qu’il sera la solution pour la sècheresse. Mais, c’est juste la nourriture, non ? Pourquoi devrait-on s’intéresser ?

Il y a plein de raisons pourquoi les OGM bénéficiaient au monde, mais est-ce qu’il est si simple ? Pour modifier  un organisme, il faut trouver les organismes qui portent le gène qu’on veut et puis extraire le gène. Quand on a le gène, il faut faire l’élevage de ces organismes dans les conditions corrects. Et puis, il faut les circuler dans le marché et trouver un consommateur. Evidemment, c’est un processus très compliqué et très cher. Les produits doivent vivre dans les conditions optimums. Ça veut-dire qu’on doit fournir les substances nutritive, la lumière, l’eau, la chauffrage et d’où est-ce que les fonds viennent ?

© delicious magazine

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En ce moment, il y a les pays qui souffrent de la sécheresse, la faim, les désastres naturels et la guerre. Je crois que la priorité des pays occidentaux doivent être dépensé l’argent pour aider le développement de ces pays – pas de créer une banane plus jeune ou une fraise plus rouge. C’est méprisable que notre gouvernement fournisse les fonds pour changer la nourriture pour un pays qui est dans le besoin du rien. Nous avons la puissance de changer en mieux le monde.

En conclusion, je crois que, si on continuera créer les organismes génétiquement modifiés, on devrait les utiliser pour améliorer la faim dans les pays moins développés ou ne pas pour se satisfaire. Changeons le monde ! Nous pouvons faire un meilleur endroit ! Nous deviendrons utiliser nos luxes pour lutter contre la souffrance et l’exiler de nos vies. Joigniez-vous avec moi dans la lutte pour faire un monde plus juste ?

Chloë Borland, rédactrice en chef

chloeborland@lapresse.fr

 

*C’était un travail écrit que j’ai écrit pendant mes cours françaises, donc tous les statistiques ne sont pas vraies et je ne travaille pas pour La Presse.*

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