Oradour-sur-Glane: Le village silent

En conduisant vers le D3 sur l’approche à Oradour-sur-Glane, une église blanche est le premier vue qu’on peut voir, grandit en taille avec chaque rotation des roues de la voiture. En s’arrêtant au rond-point et en regardant tout-droite, l’église est blanche brillant, artificiellement pur, désagréablement moderne. Je jette un coup d’œil sur la gauche pour assurer si la rue est libre, et soudainement je l’ai vu. Une file des bâtiments qui était une rue il y a longtemps. C’est déroutant.

C’était la curiosité morbide qui m’a amené à Oradour-sur-Glane, aussi connue sous le nom d’Oradour.  Le 10 juin 1944, le village limousine au ouest du centre de la France était frappé par la tragédie inimaginable. En réponse à une petite victoire du Maquis dans une ville qui est 10 kilomètres loin d’Oradour, un bataillon des soldats nazis massacrait les paysans, volait, pillait et brulait le village. 190 hommes, 247 femmes et 205 enfants était tué en moins de sept heures.

© Chloë Borland

Aujourd’hui le village est déserté : le petit montant des survivants a construit les maisons nouvelles moins d’un kilomètre des ruines. Oradour a été laissé intouché sous l’ordre de Générale de Gaulle,  « donc, les générations ne pourraient jamais oublier ». Apres avoir passé travers le Centre de la Mémoire, il y a un signe qui dit « Souviens-toi. Remember » et prés, il y a un signe blanc à côté d’un arbre qui épèle « SILENCE ».

Tout est silence. Aucun d’enfants qui jouent, aucun de bruits de gaieté, aucun de chante d’oiseau ; il n’y a que le bruit des pieds des touristes qui se traînent travers le village qui avait contenu plus de 600 paysans. Les ruines sont fascinantes. Les pièces de pierres des bâtiments restent debout, bien qu’il y ait nombreuses mauvaises herbes, il est encore possible de distinguer entre les fonctions de chaque bâtiment ; le Garage, la Boucherie, la Boulangerie. Un file des impacts de bulles à côté du mur de la Dentiste est juste un des indications des actions inhumaine qui y s’est passé. Les Nazis ont mis les hommes en rang au devant du mur et les ont tirés, sans défense.

Les trois écoles dans le village exagère la réalité du massacre des innocents, comme l’église en haut du village. L’autel est endommagé et ébréché, ne pas a cause du temps, mais des bulles qui étaient tiré pendant les massacre des femmes et des enfants qui étaient y rassemblé. Une seule femme a réussi d’échapper.

Les voitures restent debout dans la rue ou dans les garages, criblés de rouille et fondu du feu des Nazis. Et les machines à coudre restent debout asseoir dans les maisons ou ils étaient laissés… Un des seules indications du temps. Les Singers du silence. C’est difficile de croire que, moins d’il y a soixante-dix ans, cet endroit était animé.

Le village est ouvert tous les jours de 0900 et c’est gratuit pour y visiter. C’est intéressant de témoigner les ruines du dommage causé par la guerre. Accorder au moins de trois heures au visite, on sera choqué à cause de l’attention à l’histoire qu’on aura. Le parking est gratuit aussi, bien qu’il y ait un prix d’entrée pour entrer le musée dans le Centre de la Mémoire. Afin d’obtenir la pleine expérience, je déconseillerais à vous de faire quelque recherche avant y aller, donc vous pouvez comprendre complètement ce qui s’est passée et où. Je vous recommande ‘Oradour-sur-Glane : Le drame heure par heure’ de Robert Hébras, un témoignage bref d’un rescapé. Oradour-sur-Glane est approprie pour les familles comme pour les adultes et fournie un après-midi très éducatif.

Cliquez ici pour lire l’article en anglais. Rédigé par Hollie Borland.